Analyser les valeurs écologiques du pavillonnaire à travers une enquête de terrain à Meaux, afin de :
mieux comprendre les pratiques environnementales des habitants,
identifier les freins et leviers à la transition écologique du bâti individuel,
et formuler des recommandations à destination de l’ANAH pour orienter ses interventions.
L’étude montre que le pavillonnaire n’est pas intrinsèquement anti-écologique : il porte un fort potentiel de transformation durable s’il est accompagné de manière appropriée.
À Meaux, ce modèle peut évoluer vers un pavillonnaire plus sobre, collectif et résilient, à condition :
de réhabiliter le bâti existant,
de réintroduire la nature en ville,
et de reconnecter les quartiers entre eux par des mobilités et des espaces partagés.
Ainsi, le pavillonnaire peut devenir un vecteur d’écologie du quotidien, à la croisée de l’urbanisme, du paysage et de la participation citoyenne.